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Vie Chrétienne

Le Combat spirituel (Derek Prince - Derek Prince Ministries, France)

Le Règne de la grâce dans votre vie quotidienne (Steve Mc Vee - Éditions La Maison de la Bible, Collection Vivre aujourd’hui)

Le Retour de l’enfant prodigue (Henri J.M. Nouwen - Éditions Bellarmin)

Les Liens de la liberté (Jan Pit - Coédition Portes Ouvertes et Ligue pour la Lecture de la Bible)

Pécheur sauvé par grâce / Saint :  Quelle différence ???

Tu seras sauvé, toi et ta famille (Colin Dye - Vida)

 Quand les femmes prient (Evelyn Christenson. - Vida)

Écouter et servir : un cœur de Marie dans un monde de Marthes (Joanna Weaver - La Maison de la Bible

  Irréprochables devant sa gloire (André Adoul - CLC Éditions)

   Nous t’attendons ! Comment accueillir la centième brebis ? (Rob Parsons - Éditions Emmaüs)

   L’œuvre de la grâce restauratrice (Gordon Mac Donald - Éd. La Clairière, 2004)

   Solutions pratiques pour Pardonner l’Impardonnable (David Stoop  - Vida – collection Mieux Vivre)

    Le Pardon et l’Oubli (Jacques Buchhold - Coédition Edifac et Excelsis. – collection Terre Nouvelle)

L’Homme dans le miroir. Résoudre 24 problèmes auxquels les hommes font face. (Patrick morley - éditions CLE

Le Combat des vainqueurs : l’armure complète de Dieu (Gerard H Elbers. – Le Messager Chrétien)

Elle & Lui :  un couple ça se construit ! (Nicky et Sila Lee - Le Livre)

Une prière pour notre temps : réflexions sur La prière de Jaebets (Bob Gass - Editions Copédit / The Word France - La Prière de Jaebets / Bruce Wilkinson)

De l’amertume à la grâce (Maurice Decker. – Ed Barnabas.)

Le Champ de Bataille de la Pensée : soyez victorieux dans vos pensées (Joyce Meyer. – Emeth Ed.)

Le Libérateur (Neil Anderson. – Editions Clé)

 

 

 

 

 

Le Combat spirituel

Derek Prince - Derek Prince Ministries, France

Qu’ils le réalisent ou non, tous les chrétiens sont impliqués dans une bataille contre les forces du mal dont le quartier général est dans les lieux célestes et le champ de bataille dans nos pensées.

Comment mener le combat et vivre en victorieux ?

Avec la ceinture de vérité : ceinture qui nous permet d’être libre de nos mouvements ; de vérité non abstraite et théologique, mais vérité dans la vie de tous les jours, honnêteté, franchise, sincérité, transparence.

Avec la cuirasse de la justice : la cuirasse qui protège le cœur, car de lui viennent les issues de la vie (Proverbes 4 : 23) ; de la justice, la cuirasse de la foi et de l’amour rajoute Paul en 1 Thess 5. 8, non la justice qui vient des œuvres ou de la loi religieuse mais celle qui vient par la foi (Philippiens 3 : 9) et cette foi est agissante par l’amour (Galates 5 : 6).

Avec les chaussures de la préparation que donne L’Évangile de paix : s’agit-il d’être prêt à quelque chose ? à présenter cette « bonne nouvelle » qui procure la paix du cœur et de l’esprit de ceux qui y croient et y obéissent.

Avec le bouclier de la foi : pas un tout petit bouclier, un bouclier grand comme une porte ! assez grand pour  nous protéger nous-même, notre famille et tout ce que Dieu nous a confié. (2 Timothée 1 : 12)

Avec le casque du salut : si les pensées dans notre tête ne sont pas saines, tout l’équipement ne sert à rien n’est-ce pas ? or la protection de nos pensées c’est le casque de l’espérance du salut (1 Thessaloniciens 5 : 8), une attente calme et ferme de bonnes choses basées sur les promesses de la parole de Dieu. L’espérance est la protection de nos pensées comme la foi est la protection de notre cœur (id) et les deux sont liés car la foi est l’espérance des choses que l’on espère (Hébreux 11 : 1)

Avec l’épée de l’esprit : élément offensif pour nous-mêmes (Hébreux 4 : 12) et pour l’adversaire (Matthieu 4. 1-11), l’épée « Parole de Dieu » parlée par l’Esprit.

Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés (Romains 8 : 37) Cela voudrait-il dire que non seulement nous avons la victoire, mais encore un « bonus » à avoir combattu ?

L’auteur rajoute encore quatre armes offensives (2 Corinthiens 10 : 4) : la prière (Éphésiens 6 : 18), la louange (Psaume 8 : 3), la prédication (Jérémie 23 : 29), le témoignage personnel de ce que la parole de Dieu et le sang de Jésus ont fait pour nous, nous sommes rachetés, pardonnés, purifiés, justifiés, sanctifiés (Apocalypse 12 : 11).

 

 

Le Règne de la grâce dans votre vie quotidienne

Steve Mc Vee - Éditions La Maison de la Bible, Collection Vivre aujourd’hui.

Vivre pour Dieu selon des règles à respecter à tout prix, c’est s’exposer à être perpétuellement insatisfait, à avoir le sentiment de ne pas en faire assez et de devoir se surpasser pour être aimé de Lui.

Mais Dieu n’a jamais imaginé cela pour le chrétien : son amour ne dépend pas de nos capacités personnelles à son service. Il ne nous a pas appelés à le servir par nos efforts limités, mais à nous laisser conduire par sa puissance sans limites. Voulez-vous trouver le repos dans la grâce de Dieu et le laisser agir en vous ?

Quelques extraits :

Imaginez que vous venez d’entrer dans l’âge adulte en étant tellement endetté qu’il vous sera impossible de faire face à toutes vos obligations financières de votre vivant… Et puis un jour, vous recevez un courrier officiel d’un cabinet de notaire qui vous annonce le décès d’un parent éloigné : conformément au testament laissé par le défunt, toutes vos dettes ont été remboursées intégralement… Pouvez-vous imaginez l’état d’euphorie dans lequel vous vous seriez ? Vous en parleriez sans doute des semaines durant à qui voudrait l’entendre…

Au cours des trente années qui suivent,… votre situation financière vous permet d’avoir un mode de vie moyen… Un jour, un conseiller en placements vient vous trouver pour s’entretenir avec vous de la gestion de votre compte en banque… Le compte a atteint plusieurs millions d’euros ! Le notaire a oublié de mentionner que votre parent vous avait aussi laissé un héritage très généreux…

Quelques titres de chapitres :

  • Être sauvé, c’est bien plus qu’être pardonné et aller au ciel. Être sauvé, c’est recevoir la vie de Dieu !

  • Quand on est centré sur ses actes, on finit par servir Dieu pour la forme et sans avoir aucune énergie.

  • Quand Dieu est au centre de nos motivations, notre service tire littéralement son énergie de la vie qui vient de lui.

  • L’idée-force du Nouveau Testament n’est pas de vivre pour Christ, mais de demeurer en lui.

  • Moïse était animé d’un désir suscité par Dieu, mais il commit une erreur fatale : il agit en comptant sur une aptitude personnelle (quand il voulut régler le différent entre ses frères)

  • Dieu nous aime tellement que, si besoin est, il se servira de la souffrance pour nous amener à une relation d’intimité avec lui. (de dépendance envers)

  • Nos aptitudes deviennent un handicap quand nous plaçons notre confiance en elles au lieu de les placer en Dieu.

  • Le chrétien voit s’accomplir l’œuvre miraculeuse de Dieu en lui et à travers lui dans la mesure où il renonce à l’autosuffisance et s’en remet à la toute-puissance du Saint-Esprit qui habite en lui.

  • Dieu nous a déjà rendu saints. Nous n’avons pas besoin d’essayer d’être saints afin de le devenir : nous le sommes déjà. Nous désirons vivre une vie de sainteté parce que Dieu nous a rendu saints.

  • Romains 5 :19 rectifie l’erreur qui consiste à croire que nous sommes justes uniquement par notre statut. si nous étions jadis pécheurs au sens littéral, nous sommes désormais justes au sens littéral.

  • Jésus nous dit : « …ma volonté est que tu reçoives mon amour et que tu y prennes plaisir. » Cependant, nous lui répondons : « Je comprends cela, Seigneur. Mais que veux-tu que je fasse ? »

  • Nous devons reconnaître que l’arbre de la connaissance du bien et du mal peut produire du bien tout autant que du mal.

  • Quiconque croit que le chrétien qui met l’accent sur la grâce de Dieu plutôt que sur ses lois fera forcément n’importe quoi, a une conception, certes, répandue, mais hélas tout à fait erronée, du salut. Un vrai chrétien ne veut pas faire n’importe quoi.

  • Les règles religieuses paraissent tellement compatibles avec la vie chrétienne que beaucoup ne soupçonnent pas un instant leur effet meurtrier jusqu’au jour où ils en sont eux-mêmes victimes.

  • Enseignez à quelqu’un qui il est en Christ et vous ne pourrez plus l’empêcher de vouloir plaire à Dieu. Essayez de le contrôler par des règles et vous le conduirez tout droit à la ruine spirituelle.

  • Le légalisme présente les commandements comme des ultimatums divins adressés par un juge impitoyable : « si vous m’aimez, vous avez intérêt à garder mes commandements ! »

  • Nous ne remportons pas la victoire en luttant contre le péché, mais en nous attachant à Jésus. comme certains ne comprennent pas qu’il soit possible de prendre plaisir au péché tout en l’ayant en horreur. Si l’on n’avait pas horreur de son péché, on ne se retrouverait pas aux prises avec lui.

 

 

 

Le Retour de l’enfant prodigue

Henri J.M. Nouwen - Éditions Bellarmin

Interpellé par le tableau de Rembrandt, l’auteur a réfléchi sur la parabole du fils prodigue. Il s’est reconnu dans le fils cadet, comme tous les croyants reconnaissant leurs fautes ont été accueillis par le Père.

Mais combien de fois agissons-nous aussi comme le fils aîné, avec jalousie, rancune et mauvaise foi, refusons-nous de nous réjouir du retour d’un frère prodigue ?

Et combien de fois sommes-nous capable d’accueillir comme le père avec miséricorde et compassion, de pardonner comme nous avons été pardonnés ?

Oui, c’est bien vrai : de fils aimés, nous pouvons devenir des pères qui souffrent, qui pardonnent et qui font preuve de générosité ; qui donnent sans espérer quelque chose en retour, qui aiment sans mettre de conditions à leur amour.

 

 

Les Liens de la liberté

365 méditations rassemblées par Jan Pit - Coédition Portes Ouvertes et Ligue pour la Lecture de la Bible.

Un court extrait :

Par la foi… Hébreux 11.3

La foi pour moi, c’est :

  •  S’attendre à ce que Dieu fasse un miracle avec mes cinq pains et mes deux poissons. Il peut m’utiliser.

  •  Rejeter les sentiments de panique quand les choses paraissent hors de contrôle. Il est aux commandes.

  •  Mettre ma confiance dans la fidélité de Dieu envers moi dans un monde incertain. L’avenir est à lui.

  •  Compter sur le fait que Dieu m’aime, et non sur mes capacités à imaginer comment ou pourquoi il le fait. On peut lui faire confiance.

  •  Remercier Dieu pour la santé et l’équilibre sur le plan émotionnel, et ne pas admettre que cela vient de ma capacité à résister au stress. Il pourvoit.

Je crois, aide-moi car j’ai de la peine à croire ! (Marc 9.24)

Quand on sait que ces textes ont été écrits par des chrétiens dans des situations de guerre, d’emprisonnement, de persécution, ils ont une valeur supplémentaire…

Une foi à imiter, mais surtout de véritables encouragements à recevoir pour tous les jours.

 

 

 

Pécheur sauvé par grâce / Saint :  Quelle différence ???

Extrait de  « Une nouvelle identité pour une nouvelle vie » de Neil Anderson  aux Éditeurs de littérature Biblique.

J’avais posé l’énigme du « pécheur sauvé par grâce » et du « saint » pour introduire « Le règne de la grâce dans votre vie quotidienne » de Steve Mac Vee  – Maison de la Bible,  présenté il y a quelque temps déjà, qui traite aussi le sujet de ce que nous sommes et avons en Christ. Comme l’énigme n’était pas dans le numéro précédant la parution du résumé, j’avais présenté l’ouvrage différemment.

Mais voilà donc la réponse tirée d’un ouvrage déjà  chaudement recommandé dont la relecture ne peut nous faire de mal !

Pécheur sauvé par grâce / Saint : quelle différence ?

Nous avons la grande joie de vous annoncer le décès du premier dès la naissance du second !!!! Une  nouvelle vie donne un nouveau nom.

Avez-vous remarqué qu’un des mots utilisé le plus souvent pour désigner le chrétien dans le nouveau testament c’est le mot « saint » ? Paul et les autres auteurs des épîtres emploient généreusement ce mot pour décrire des chrétiens ordinaires, banals, terre-à-terre, comme vous et moi. Par exemple, dans les salutations de Paul en 1 Corinthiens 1 : 2, nous lisons : « à l’assemblée de Dieu qui est à Corinthe, aux sanctifiés dans le Christ Jésus, saints appelés avec tous ceux qui en tout lieu invoquent le nom du Seigneur Jésus Christ, et leur Seigneur et le nôtre »

Notez que Paul n’a pas dit que nous étions saints après beaucoup d’efforts. Il affirme clairement que nous sommes saints par vocation. Certains  d’entre nous se prennent à penser que les saints ont mérité ce titre ronflant parce qu’ils ont vécu une vie exemplaire ou atteint un certain niveau de maturité. Jamais de la vie ! La Bible dit que nous sommes des saints parce que Dieu nous a appelés à être des saints. Nous avons été « sanctifiés  en Christ » - rendus saints par notre participation à la vie du seul vrai saint, Jésus Christ.

Beaucoup de chrétiens disent qu’ils sont des pécheurs sauvés par la grâce. Mais sommes-nous vraiment des pécheurs ? Est-ce notre identité selon la Bible ? Pas du tout. Dieu ne nous appelle pas des pécheurs ; Il nous appelle des saints. Si nous nous considérons comme des pécheurs, devinez ce que nous ferons : nous vivrons comme des pécheurs ; nous pécherons. Pourquoi ne pas nous considérer comme ce que nous sommes vraiment : des saints qui pèchent occasionnellement. Souvenez-vous : ce que vous faites ne détermine pas ce que vous êtes ; mais c’est ce que vous êtes qui détermine ce que vous faites.

Ce qui caractérise Christ nous caractérise aussi

Puisque nous sommes des saints en Christ selon la vocation de Dieu, nous partageons l’héritage de Christ. Ce qui caractérise Christ nous caractérise aussi dès maintenant, parce que nous sommes en Christ. Cela fait partie de notre identité.

La liste ci-dessous détaille à la première personne du singulier qui nous sommes réellement en Christ. Voici des caractéristiques qui montrent ce que nous sommes devenus après notre naissance spirituelle. On ne peut pas les gagner ou les mériter, pas plus qu’une personne née en France ne peut gagner ou mériter les privilèges et les libertés qui découlent de sa nationalité. Ils lui sont garantis par la constitution du simple fait qu’elle soit née en France. De même,  ces caractéristiques nous sont garanties par la Parole de Dieu du simple fait que nous soyons nés dans la nation sainte de Dieu par la foi en Christ.

Qui suis-je ?

  •  Je suis le sel de la terre  (Matth. 5.13)

  •  Je suis la lumière du monde  (Matth. 5.14)

  •  Je suis un enfant de Dieu  (Jean 1.12)

  •  Je fais partie du vrai cep, je suis un canal de la vie de Christ  (Jean 15.1, 5)

  •  Je suis l’ami de Christ  (Jean 15.15)

  •  Je suis choisi et établi par Christ pour porter du fruit  (Jean 15.16)

  •  Je suis esclave de la justice  (Rom. 6.18)

  •  Je suis esclave de Dieu  (Rom 6.22)

  •  Je suis un fils de Dieu ; Dieu est spirituellement mon Père  (Rom. 8.14 ; Gal. 3.26 ; 4.6)

  •  Je suis cohéritier avec Christ, je partage son héritage avec Lui  (Rom. 8.17)

  •  Je suis un temple – une habitation – de Dieu. Son Esprit et sa vie habitent en moi  (1 Cor. 3.16 ; 6.19)

  •  Je suis uni au Seigneur et je suis avec lui un seul esprit  (1Cor. 6.17)

  •  Je suis un membre du corps du corps de Christ  (1 Cor. 12.27 ; Eph 5.30)

  •  Je suis une nouvelle création  (2 Cor. 5.17)

  •  Je suis réconcilié avec Dieu et j’ai un ministère de réconciliation  (2 Cor. 5.18, 19)

  •  Je suis un fils de Dieu, je suis un en Christ  (Gal. 3.26, 28)

  •  Je suis un héritier de Dieu parce que je suis un fils de Dieu   (Gal. 4.6, 7)

  •  Je suis un saint  (Eph. 1.1 ; 2 Cor. 1.2 ; Phil. 1.1 ; Col. 1.2)

  •  Je suis l’ouvrage – l’œuvre – de Dieu, né de nouveau en Christ pour accomplir son œuvre  (Eph. 2.10)

  •  Je suis concitoyen des saints, membre de la famille de Dieu  (Eph. 2 .19)

  •  Je suis un prisonnier du Christ  (Eph. 3. 1 ; 4.1)

  •  Je suis juste et saint  (Eph. 4.24)

  •  Je suis un citoyen des cieux, assis dans les lieux célestes dès maintenant  (Phil. 3.20 ; Eph. 2.6)

  •  Je suis caché avec Christ en Dieu  (Col. 3.3)

  •  Je suis une expression de la vie de Christ parce qu’Il est ma vie  (Col. 3.4)

  •  Je suis choisi par Dieu, saint et bien-aimé  (Col. 3.12 ; 1 Thess. 1.4)

  •  Je suis un fils de la lumière et non des ténèbres  (1 Thess. 5.5)

  •  Je suis un saint participant à une vocation céleste  (Heb. 3.1)

  •  Je suis un participant du Christ ; je partage sa vie  (Héb. 3.14)

  •  Je suis une des pierres vivantes de Dieu, édifiée en Christ pour être une maison spirituelle  (1 Pie. 2.5)

  •  Je suis membre de la race élue, du sacerdoce royal, de la nation sainte, du peuple qui appartient exclusivement à Dieu  ( 1 Pie 2. 9,10)

  •  Je suis un étranger et un voyageur dans ce monde dans lequel je vis temporairement  (1 Pie. 2 .11)

  •  Je suis un ennemi du diable  (1 Pie 5.8)

  •  Je suis un enfant de Dieu et je ressemblerai à Christ quand Il reviendra  (1 Jean 3.1, 2)

  •  Je suis de Dieu et le malin – le diable – ne peut pas me toucher  (1 Jean 5.18)

  •  Je ne suis pas « Celui qui suis »  (Ex. 3.14 ; Jean 8 .24, 28, 58), mais par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis  (1 Cor. 15.10)

Parce que nous sommes en Christ, chacune de ces caractéristiques est parfaitement vraie pour nous, et nous ne pouvons rien faire pour les rendre plus vraies. Par contre nous pouvons donner plus de sens à ces aspects et les rendre plus productifs dans notre vie, en choisissant simplement de croire ce que Dieu a dit à notre sujet. Un des meilleurs moyens de grandir vers la maturité en Christ consiste à continuellement nous rappeler qui nous sommes en Christ.

 

 

Tu seras sauvé, toi et ta famille

Colin Dye - Vida

Un rappel encourageant des alliances de Dieu avec ceux qui l’aiment, des promesses pour eux et pour leurs familles, de Sa fidélité à les accomplir.

La famille n’est-elle pas le champ d’action privilégié de la bénédiction surabondante de Dieu ?

Prions pour nos familles, pour que les forteresses tombent, pour que les bénédictions aient la victoire sur les malédictions, pour la libération de nos passés difficiles, pour que le respect de nos parents soit source de bénédictions dans nos vies.

Ainsi parle l’Éternel :

« Retiens les pleurs de ta voix, les larmes de tes yeux ; car il y aura un salaire pour tes actions, oracle de l’Éternel : ils reviendront du pays de l’ennemi, il y a de l’espérance pour ton avenir, oracle de l’Éternel ; tes fils reviendront dans leurs frontières » Jér 31.16-17

 « Celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour du Christ Jésus. »  Phil 1.6

 

 

 Quand les femmes prient…

Evelyn Christenson. - Vida

Préalables à la prière efficace :

  •  Ne pas garder de péché connu dans sa vie 

« Si j’avais vu de la fraude dans mon cœur, le Seigneur ne m’aurait pas écouté. » (Psaume 66 : 18)

  •  Pardonner comme nous sommes pardonnés  

« Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé. »  Matth 6. 12

  • Prier selon la volonté de Dieu

« Voici l’assurance que nous avons auprès de lui : si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quoi que nous demandions, nous savons que nous possédons ce que nous lui avons demandé. » (1 Jean 5 : 14-15)

« Ainsi que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu, remettent leur âme au fidèle créateur en faisant le bien. » (1 Pierre 4 : 19)

  • Vie de prière personnelle de l’intercesseur

« Mais toi quand tu pries, entre dans ta chambre,  ferme la porte et prie ton père qui est dans le lieu secret, et ton père qui voit dans le secret te le rendra. » (Matthieu 6 : 6)

« Priez sans cesse ! » (1 Thessaloniciens 5 : 17)

  • S’assurer que c’est bien du Dieu vivant que nous nous approchons

« Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu et il s’approchera de vous. » (Jacques 4 : 7-8)

  • Entrer dans la prière d’intercession avec actions de grâces

« Or, sans la foi, il est impossible de lui plaire ; celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent. » (Hébreux 11 : 6)

« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toutes choses par la prière et les supplications, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. » (Philippiens 4 : 6)

  • Savoir reconnaître l’intervention de Dieu quand nous intercédons :

le Père a confié le rôle d’intercesseur à trois personnes : 

  •  son Fils (Hébreux 7 : 25),

  •  le St Esprit ( Romains 8 : 26-27) 

  •  vous (1 Timothée 2 : 1)

Quel honneur d’être en si bonne compagnie !

  • Attendez en silence que Dieu vous parle

« C’est une chose bonne qu’on attende et dans le silence, le salut de l’Éternel. » Lamentations de Jérémie 3 : 26)

Ce sujet  traité à l’ « américaine » ne convient pas forcément à notre sensibilité européenne, mais « éprouvons toute chose et retenons ce qui est bon ».

 

 

Écouter et servir : un cœur de Marie dans un monde de Marthes

Joanna Weaver. - La Maison de la Bible

L’histoire de Marthe, Marie et Lazare sous un nouvel éclairage !

 

Extrait : les leçons de ponctuation de Dieu

Règle n° 1 : ne jamais mettre un point où Dieu met une virgule.

Trop souvent, nous interprétons les « retards » de Dieu comme des refus. Mais l’histoire de Lazare nous dit qu’un retard dans la réponse n’est pas un signe d’indifférence de Dieu ou de refus de nous entendre. C’est un signe de son amour : le retard nous aidera, nous fortifiera.

Jésus aurait pu prononcer un mot et guérir Lazare. Il le fit bien pour le serviteur du centurion romain (Matthieu 8 : 5-13) comme pour la fille d’une femme syro phénicienne (Marc 7 : 24-30).

Les voies de Dieu ne sont pas nos voies, et son temps coïncide rarement avec le nôtre. Mais faisons-lui confiance, autant en son programme qu’en son amour.

Jésus arriva un peu tard pour une guérison, mais à temps pour une résurrection. Ainsi, ne mettons jamais un point où Dieu met une virgule.

Au moment où nous pensons que la phrase est terminée, la partie la plus importante peut arriver.

Règle n°2 : ne mettons pas une virgule où Dieu met un point.

Jésus a annoncé sa mort dans les Évangiles. En Matthieu 16 : 21 nous lisons : « dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu’il fallait qu’il aille à Jérusalem, qu’il souffre beaucoup de la part des anciens, des sacrificateurs et des scribes, qu’il soit mis à mort, et qu’il ressuscite le troisième jour »

Mais Pierre ne voulut pas entendre parler de cela. Il prit son Maître à part et commença à le reprendre : « à Dieu ne plaise, Seigneur, cela ne t’arrivera pas » (v.22)

Mais le Seigneur le reprend : « Arrière de moi, Satan ! Tu m’es en scandale, car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celle des hommes. » (v.23)

Aie ! Ce n’est pas tous les jours que le Fils de Dieu nous appelle Satan et lorsqu’il le fait, ça fait mal ! Mais si nous essayons de mettre une virgule où Dieu veut un point, ne soyons pas surpris qu’il brise nos douces illusions.

Dans chacune de nos vies, il arrive que Dieu écrive la fin d’un chapitre, qu’il nous demande de nous séparer de quelque chose ou de quelqu’un qui nous est cher. Il pourrait s’agir d’un conjoint, d’un parent ou d’un ami. Il pourrait s’agir du travail ou de la ville que nous aimons, d’un préjugé ou d’une supposition que nous avons toujours considéré comme vraie.

Les fins sont inévitables. Les impasses, les possibilités manquées, les obstacles infranchissables nous décevront tous un jour. Dans ces situations, nous pouvons nous battre comme Pierre ou nous pouvons les accepter en suivant l’exemple de Jésus qui accepta tout de la main du Père. Et alors, nous pouvons vraiment croire que tout finira bien : Dieu reste digne de confiance.

Extrait : Jésus comprend 

Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. (Hébreux 4 : 15)

Le verset de Jean 11 :35 Jésus pleura (à l’annonce de la mort de son ami Lazare) est bien connu car c’est le plus court de la Bible, mais pour moi la véritable puissance de ces deux mots est l’assurance que Jésus comprend ce que nous vivons. Il ne nous demande pas de vivre ce qu’il n’a pas vécu lui-même et il promet d’être toujours avec nous.

  •  Jésus a connu la tentation : Jésus passa 40 jours dans le désert, tenté par Satan (Marc 1 : 13)

  •  Jésus a connu la pauvreté : les renards ont des tanières mais le Fils de l’homme n’a pas un lieu où reposer sa tête (Matthieu 8 : 21)

  •  Jésus a connu la frustration : il dispersa la monnaie des changeurs et renversa les tables…Ôtez cela d’ici, ne faites pas de la maison de mon Père un repaire de voleurs (Jean 2 : 15-16)

  •  Jésus a connu la fatigue : Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits (Jean 4 : 6)

  •  Jésus a connu la déception : Jérusalem, Jérusalem… combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble sa couvée… et vous ne l’avez pas voulu ! (Luc 13 : 34)

  •  Jésus a connu le rejet : dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent et ils n’allèrent plus avec lui (Jean 6 : 66)

  •  Jésus a connu la douleur : mon âme est triste jusqu’à la mort (Matthieu 26 : 38)

  •  Jésus a connu les moqueries : ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et, fléchissant les genoux, ils se prosternaient devant lui (Marc 15 : 19)

  •  Jésus a connu la solitude : mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? (Matthieu 27 : 46)

 

 

  Irréprochables devant sa gloire

André Adoul - CLC Éditions

 

A celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître irréprochables devant sa gloire  (Jude 24)

Prépare-toi à rencontrer ton Dieu.  (Amos 4 : 12)

Ce livre a été écrit par un chrétien au soir de sa vie. Ses jours étaient comptés. Cette pensée ne l’a pas quitté tout au long de la rédaction de ces pages, aussi son intention a-t-elle été d’encourager ses plus jeunes frères et sœurs à persévérer dans la foi et à tenir bon jusqu’au bout. Il est tellement important de se préparer à rencontrer le Dieu de sainteté, d’amour, de lumière et de grâce, le Dieu qui met à notre disposition toutes les ressources pour nous faire paraître irréprochables devant sa gloire !

Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus Christ  (Philippiens 1 : 6)

 

 

   Nous t’attendons ! Comment accueillir la centième brebis ?

Rob Parsons - Éditions Emmaüs

 

Le message de Rob Parsons s’adresse à tous ceux qui sont en soucis pour un fils ou une fille prodigue : arrêtons de nous culpabiliser faussement, de nous juger les uns les autres et rappelons-nous que Dieu, le parent parfait, a lui aussi des ennuis avec ses enfants ! 

L’Église n’a-t-elle pas aussi sa part de responsabilité lorsque des fils prodigues s’en vont ? Est-elle prête à les accueillir à leur retour, comme le Père ?

Mais ce message n’est pas seulement pour les autres. Tout au long de ces pages, nous découvrons ce que, au fond de nous-mêmes, nous avons toujours su : nous sommes des fils prodigues, qui avons besoin de revenir au Père prêt à nous accueillir.

 

 

   L’œuvre de la grâce restauratrice

Gordon Mac Donald - Éd. La Clairière, 2004.

Le cœur brisé, l’esprit ouvert, et une nouvelle direction dans laquelle marcher : Reconstruire après la chute 

 

Que le brisement de notre univers personnel ait été provoqué par notre propre faute ou celle d’autrui, l’expérience qui en résulte sera sans doute l’occasion d’un séjour au désert. Pourtant, il n’y a pas de raison d’avoir peur. Même si la douleur est grande, la vie au bout du tunnel sera pleine de lumière et d’espérance.

L’auteur considère d’abord les différents environnements qui sont susceptibles de favoriser l’émergence du mal dans le comportement  humain ; les moments où chaque groupe d’âge y est le plus vulnérable ; les saisons de vie d’une personne au cours desquelles elle peut se retrouver saturée et en situation de déséquilibre ; l’influence néfaste des souvenirs du passé sur son présent ; l’omniprésence du mal autour de nous. Mais il traite surtout de la bonne nouvelle que nous pouvons demeurer éveillés à l’influence de Dieu et nous approprier sa puissance pour lutter contre les effets du mal.

Le cœur est la source d’inspiration de la pensée, il anime chacune de nos intentions et de lui jaillit l’action qui provoque l’éclatement des univers personnels ou leur restauration.

Le premier pas sur le chemin de la restauration est la repentance : un moment ponctuel mais aussi un mode de vie.

Alors nous pouvons avoir la conviction que Dieu va transformer ce temps de souffrance et d’humiliation dans notre vie en quelque chose d’utile.

La réflexion personnelle de l’auteur suite à son univers personnel brisé a fait ressortir les thèmes suivant : la laideur du péché, non seulement sur le plan de ses tristes conséquences, mais aussi parce qu’il est une offense à Dieu et à son Église ; la grâce du Christ ; la tendresse de notre Père céleste ; l’espérance qui est offerte à quiconque vient à Dieu avec sa vie en lambeaux en lui demandant son aide pour reconstruire ce qui  été démoli ; une sensibilité grandissante au fait qu’un grand nombre de personnes cherchent désespérément à trouver l’espoir et souhaitent une restauration, mais que plusieurs parmi elles ne reçoivent ni la grâce ni la compassion dont elles ont tant besoin.

Chacun traverse tôt ou tard une saison dans la vie où il se demande s’il y aura un lendemain qui vaille la peine d’être vécu.

Ce n’est qu’au moment où la grâce est tout ce qui nous reste pour nous assurer un avenir qu’elle occupe la place qui lui revient dans notre pensée, lorsqu’il n’y a plus d’autre option. Et c’est parfois dur d’accepter que le choix de  manifester ou non la grâce à quelqu’un demeure une décision entre Dieu et le donneur.

Mais pour Dieu, sa grâce restauratrice répond toujours à la personne brisée qui prend conscience de sa misère et qui reconnaît ses fautes, tant en termes d’attitudes que de mauvaises actions. Cela ne signifie pas que les conséquences naturelles de l’inconduite s’effacent par magie, mais par elle la communion est rétablie entre Dieu et la personne qui adopte une attitude de repentance.

La grâce sous toutes ses formes ne peut être achetée ou méritée, elle ne peut être qu’offerte ou reçue.

Je ne saurais trouver de responsabilité plus importante que celle d’offrir la grâce. L’offrir à l’homme ou la femme qui n’a jamais entendu parler de l’amour du Christ. L’offrir au jeune croyant qui lutte dans sa quête et son désir de ressembler au Christ. L’offrir enfin à la personne brisée par son échec, qui a causé du tort à ses frères et sœurs dans la foi.

Un processus de restauration exige que l’on adopte temporairement des principes opératoires qui permettent de naviguer durant les jours sombres : comment le vivre ? Un jour à la fois, aujourd’hui !

  •  prendre conscience du péché par une confrontation (Nathan et David) ou une mise à nu  (fils prodigue)

  •  être brisé (éprouver du regret à l’égard du péché), reconnaître son entière responsabilité, être affligé d’avoir offensé Dieu et blessé ceux qui ont été touchés par la faute

  •   confesser son péché pour être dégagé des liens de la faute tue, désirer reprendre à zéro,  changer de direction

  •  demeurer dans le silence et à l’écart (silence devant Dieu et le monde) va permettre de faire un inventaire du comment et du pourquoi c’est arrivé, de sonder sa vie intérieure pour découvrir ses faiblesses, de recharger ses piles spirituelles, redéfinir ses directions de vie. Aller trop vite, zapper le temps à l’écoute de Dieu  augmente les risques de récidives

  •  rejeter une partie de la responsabilité sur autrui ou les circonstances ; se plaindre de ses accusateurs, de ceux qui critiquent ; tenter de diminuer sa faute en soulignant celle d’autrui, ne fait que ralentir et saper le processus de restauration

  •  ne pas chercher à se défendre soi-même (que les amis le fassent)

  •  développer un ministère intérieur pour combattre le sentiment de perte d’utilité : célébrer la présence de Dieu ; déraciner tout ce qui est impureté personnelle ; méditer sur les vérités éternelles ; offrir des actions de grâces ; prier pour le monde ; prier pour ses amis (Job)

  •  recevoir la miséricorde et vivre comme une personne pardonnée : rester tranquille, éviter le surmenage, respecter ses limites ; ne pas être sur la défensive, desserrer les poings ; saisir toute occasion de servir les autres ; se montrer le plus possible reconnaissant ; reconnaître et célébrer la valeur des autres, œuvrer à leur édification ; maintenir les possessions matérielles à un niveau minimal ; se montrer disposé à la repentance ; être à l’affût de toute occasion de prier avec autrui ; faire preuve de discipline et de rigueur, se montrer fidèle dans les petites choses de la vie quotidienne ; accepter la défaite et reconnaître en elle une occasion d’apprendre ; laisser chaque endroit en meilleur état que celui dans lequel il était en arrivant ; faire attention à l’obsession du travail et à la surexcitation ; ne pas rechercher l’approbation d’autrui et apprendre à dire non

  •  ne pas éviter la douleur mais apprendre à vivre avec elle, être sensible au caractère horrible du mal

  •  trouver les personnes qui ont besoin de goûter à la grâce et qui ne la trouvent pas ; chercher la compagnie de ceux qui adorent Dieu : lorsque Dieu est honoré dans la prière d’adoration, l’esprit brisé et fatigué se trouve renouvelé

  •  chercher une nouvelle direction : « qu’ai-je appris que je ne connaissais pas auparavant et comment vais-je mettre cette connaissance et cette expérience à profit pour la gloire de Dieu et le service d’autrui ? » En 2 Cor 1.3-4, le réconfort dont les Corinthiens avaient été l’objet de la part de Dieu, ils étaient sans doute appelés à l’offrir aussi à d’autres ; apporter espoir et dignité.

Il y a, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Église locale, des croyants dont l’univers personnel a été brisé, et ils sont en grand nombre. Ils soupirent après quelqu’un qui puisse les comprendre et les écouter ; ils aspirent désespérément à une amnistie qui leur procurerait la chance de repartir à neuf. Si leur sentiment intérieur est juste, ils ne demandent pas que l’on ferme les yeux sur la gravité de leurs fautes ou que leur responsabilité soit atténuée ; ils ne demandent pas que les autres agissent comme si rien n’était arrivé. Ils aspirent aux trois bénédictions qui se trouvent au pied de la croix du Christ : la grâce offerte gratuitement, la guérison pleinement reçue et expérimentée, et la restauration qui permet d’être à nouveau utile à Dieu.

Mise en place d’un système de défense d’un univers personnel :

7 attitudes essentielles.

  1. Adopter un style de vie caractérisé par la repentance.  Nommer et reconnaître publiquement nos mauvaises actions est un signe de maturité de la vie chrétienne. Plus nous marchons dans la lumière, plus les ombres sont contrastées ! Nous commençons à maîtriser nos fautes lorsque nous en sommes conscients et pouvons les déposer au pied de la croix en les confessant.

  2. Fournir l’effort nécessaire à la poursuite de la discipline spirituelle. Certaines personnes croient tellement à ce qu’elles font, qu’elles sont prêtes à en payer le prix ! Mais comment discipliner notre l’esprit ? Par une étude régulière des Écritures, par la pratique de l’intercession, de la méditation, de la lecture de livres traitant de thèmes spirituels, seul et en groupe. Se consacrer à des exercices spirituels ferme la porte aux bruits du monde qui ont une emprise sur notre esprit. Être en quête de la voix venant du ciel (murmure réconfortant seulement parfois) rétablit notre équilibre, nous redonne une direction qui confirme notre valeur personnelle selon les critères célestes. Être en quête de la puissance du ciel permet de tenir le mal en échec et d’offrir le meilleur de nous-mêmes à ceux qui nous entourent. En résumé, cultivons une relation intime personnelle avec notre Seigneur Jésus-Christ.

  3. Cultiver des relations-clés. Des relations de qualité axées sur la transparence et la réciprocité pour s’aider mutuellement à remporter la course ! Tout signe de croissance doit être encouragé et affirmé. Nous devons être repris et exhortés à respecter les exigences de la foi chrétienne lorsque notre conduite ne se conforme pas aux critères de sainteté. Une amitié qui nous encourage à croître en vue de ressembler  davantage au Christ est une des plus grandes richesses que nous puissions posséder. Quelques questions pour ceux qui veulent se protéger mutuellement : - Parle-moi de ta relation avec Dieu ces jours-ci. – Quel est le passage des Écritures qui t’as le plus frappé cette semaine ? – Quel message as-tu reçu de Dieu par ce passage ? –Dans quel domaine de ta vie as-tu en ce moment des luttes ou expérimentes-tu de la résistance face à Dieu ? – Quelles ont les prières particulières que tu fais pour les autres ces temps-ci ? – Quelles sont les prières spécifiques que tu fais pour toi-même ? – Quelles sont les responsabilités que tu assumes et que tu considères non achevées ? – De tes habitudes, quelles sont celles qui te font le plus peur ? – Qu’as-tu lu dans les journaux séculiers ces derniers jours ? – Que préfères-tu lire en général ? – A quelles activités t’adonnes-tu ces jours-ci pour te détendre ? – Parle-moi de ta relation avec ton conjoint, tes parents, tes enfants, tes frères et sœurs… Si je demandais à ton conjoint, tes parents… de ma parler de ton état d’esprit, de ta condition émotionnelle, de ton niveau d’énergie, quelle serait la réponse ? – As-tu en ce moment l’impression que l’ennemi t’attaque dans le domaine spirituel ? – Si Satan essayait de te démolir en tant que personne ou de détruire ta crédibilité en tant que disciple du Seigneur, comment s’y prendrait-il ? – Dans quel état te trouves-tu sur le plan de ta sexualité ? Tenté ? En proie à des fantasmes ? En proie à des dépendances ? De quel ordre ? – Comment te portes-tu sur le plan financier ? Sur le plan de la santé ? Inquiet ? Endetté ? – Sur le plan de tes relations, y a-t-il des conflits non résolus ? – Quand as-tu pour la dernière fois passé un temps de qualité avec un ami de même sexe que toi ? – Si tu as passé du temps avec un non chrétien ce dernier mois, fais-en-moi une description. – Quels sont les défis auxquels tu auras à faire face au cours de la semaine, du mois qui vient ? – Dis-moi quelles sont les plus grandes craintes que tu vis en ce moment. – As-tu de la difficulté à dormir ? – Nomme-moi trois choses pour lesquelles tu es le plus reconnaissant. – Quels sentiments as-tu à ton égard à ce point de ta vie ? pour quelles raisons ? – Dans quel domaine de ta relation avec Dieu te sens-tu confus ? …L’amitié exige que l’on y consacre le temps nécessaire. Nous ne trouverons le temps que si nous faisons des joies et des peines de la communion fraternelle une de nos priorités.

  4. Refuse de t’attribuer la gloire qui revient au Christ. (autrement dit de rechercher les applaudissements d’autrui) Nous avons à exprimer notre appréciation du service d’autrui avec sagesse : que Dieu nous garde de saboter la bénédiction que sont ces personnes en leur rendant une gloire indue (entre encouragement et gloire indue, il y a de la marge !) Rendons gloire à Dieu. Des louanges exagérées ont un effet narcotique sur notre perception de la réalité, notre condition de pécheur, notre disposition à dépendre quotidiennement de Dieu et de sa grâce opérante.

  5. Prendre du temps pour se détendre, avoir du plaisir, se divertir. Cet exercice salutaire de l’esprit et des émotions fait diversion, éloigne temporairement les pressions liées aux besoins considérables auxquels nous avons à faire face quotidiennement dans notre travail, dans l’Eglise ou la société.

  6. Ne pas trop s’attacher aux biens que nous possédons. Considérons-les comme prêtés sinon nous risquons d’avoir des conflits de choix  entraînant endettement, orgueil, envie, insatisfaction… ! Un système de défense efficace  est de vivre selon ses revenus, d’éviter de s’endetter, de respecter les principes bibliques par rapport à la générosité.

  7. Chercher la plénitude de l’esprit qui nous donne la puissance pour accomplir l’œuvre que nous avons à faire ; la sagesse pour faire preuve de discernement spirituel ; la force de caractère pour diriger, faire office de prophète. L’Esprit agit dans la vie des croyants pour les conduire dans la vérité ; leur rappeler les enseignements du Seigneur ; leur communiquer la puissance d’être des témoins de la foi. Mais l’Esprit peut être attristé ; il est possible de résister à son influence. Demandons la plénitude de l’Esprit Saint en nous, soumettons-nous à ses directives.

Regarder du point de vue de l’ennemi pour repérer les failles dans notre système de défense :

  •  un cœur qui résiste à la repentance

  •  un esprit qui se rebute à la discipline

  •  un penchant à se tenir à l’écart des autres chrétiens

  •  la recherche d’une gloire qui ne nous revient pas

  •  la fatigue du corps, l’épuisement de l’esprit

  •  la faiblesse de ne pas s’être laissé conduire et animer par la puissance de Dieu.

Processus de restauration.

(A faire avec l’aide de 2 ou 3 qui entourent la personne brisée)

  •  confession de la part de la personne brisée

  •  aborder l’historique des événements qui ont amenés à l’inconduite : seule la mise à nu de la racine peut rendre possible un changement dans la façon de vivre

  •  discipline : dommages et offenses doivent être réglés par des actions concrètes de restitution ; la personne doit être relevée de certaines fonctions, mise à l’écart nécessaire (comme un soldat blessé ne retourne pas au front avant sa pleine guérison) ; des mesures doivent être prises pour qu’elle puisse regagner la confiance des autres ; des comptes sont à rendre de l’évolution du cheminement de la restauration, obligation d’un suivi pastoral, d’une relation d’aide ; demande formelle et obtention (si possible) de pardon ; exigence que l’affaire soit reconnue comme réglée aux yeux de tous

  •  réconfort : encouragement et manifestation de confiance de la part de l’assemblée, nourrir l’espérance !

  •  défendre la cause de la personne restaurée. Veiller à ce que la vérité sur son compte soit bien véhiculée, s’asseoir avec le pécheur repenti et veiller à ce que le pardon et la grâce promis par Dieu lui soient accessibles et à ce qu’elle les accueille pleinement.

  •  déclaration publique comme quoi le processus de restauration a été mené à son terme : la personne est libérée de mesures disciplinaires et reconnue apte au service

  •  savoir qu’il reste parfois à apprendre à vivre avec certaines séquelles.

Aidez les personnes brisées à se relever et à terminer la course. Confrontez-les comme Nathan a eu le courage de faire avec David, poursuivez-les comme Osée l’a fait pour Gomer, sa femme rebelle, pardonnez-leur comme Paul l’a fait pour son geôlier, travaillez à leur restauration comme Barnabas l’a fait pour Jean-Marc et, chaque fois que c’est possible, rendez-les capables de redevenir utiles comme Jésus l’a fait pour Pierre.

 

 

   Solutions pratiques pour Pardonner l’Impardonnable.

David Stoop  - Vida – collection Mieux Vivre

    Le Pardon et l’Oubli

Jacques Buchhold - Coédition Edifac et Excelsis. – collection Terre Nouvelle

 

Il est impossible de pardonner sans qu’il y ait eu au préalable une vraie repentance

                                               vrai                                   faux

Il faut pardonner et oublier

                                               Vrai                                 faux

Il faut toujours se réconcilier avec ceux à qui l’on a pardonné

                                               Vrai                                 faux

 

Etes-vous sûrs de vos réponses ?

Ces deux livres mettent en valeur la richesse de l’enseignement biblique sur le pardon. Ils nous engagent à le méditer et à le vivre. 

Les trois affirmations sont des conceptions erronées à propos du pardon.

 

 

L’Homme dans le miroir. Résoudre 24 problèmes auxquels les hommes font face.

Patrick morley - éditions CLE

 

Quel programme !

Ce livre invite chaque homme à examiner sérieusement son identité, ses relations, ses finances, son temps, son tempérament, son intégrité. Examen qui est la première étape vers un changement durable.

L’auteur, sensible aux difficultés d’équilibre de la vie des hommes en général et des cadres en particulier, a su combiner action et sagesse.

Il nous livre ses réflexions, enrichies des découvertes bibliques engrangées tout au long de son cheminement.

Voici donc un outil pragmatique et efficace pour réfléchir seul ou en groupe afin d’apporter des solutions aux problèmes particuliers des hommes actuels.

Et je rajouterai que les femmes peuvent retirer de cette lecture, en plus des matériaux pour leur propre vie, une prise de conscience des problèmes spécifiques des hommes pour leur être une aide plus efficace.

 

 

Le Combat des vainqueurs : l’armure complète de Dieu

Gerard H Elbers. – Le Messager Chrétien.

 

Inutile pour les chrétiens de s’efforcer à vaincre Satan puisque le Seigneur Jésus l’a déjà fait à Golgotha. IL est le grand vainqueur ! Pourquoi alors nous retrouvons-nous, chrétiens, au milieu d’un combat ? La Bible l’affirme sans aucune équivoque : ce combat est bien réel.

Dans cette étude, l’auteur aborde, non seulement le caractère de l’ennemi, mais aussi les armes que Dieu met à notre disposition pour combattre. Nous avons un pressant besoin de ces armes, non pour nous assurer une autre victoire, mais pour tenir ferme. C’est possible : c’est le combat des vainqueurs !

 

 

Elle & Lui   un couple ça se construit !

Nicky et Sila Lee - Le Livre

Nicky Lee, pasteur anglais, initiateur des Cours Alpha et des parcours Elle et Lui

La plupart des couples entrent dans le mariage avec de grandes attentes. Alors qu’ils sortent de l’église sous une pluie de confettis et s’éloignent dans le soleil couchant, ils ne peuvent imaginer qu’un jour ils puissent ne plus vouloir être ensemble. La réalité à long terme est différente et potentiellement bien meilleure.

Rempli de conseils pratiques, ce livre est facile à lire, il est conçu pour préparer, construire et même raccommoder les couples.

Sept thèmes sont y abordés : Les bons fondements : prendre le temps de se connaître, de partager, de poser les priorités ; l'art de la communication ; la résolution des conflits ; la puissance du pardon ; les relations avec parents / beaux-parents ; une sexualité vraie ; témoigner son amour : les cinq langages.

Avec Dieu au centre de notre mariage et un engagement sincère, ça doit rouler !

Cet ouvrage approfondit un parcours de sept soirées proposé pour des couples, à conseiller pour jeunes et vieux mariés !

En France : http://www.coursalpha.fr/-Elle-Lui-.html

En Belgique : http://www.coursalpha.be/

 

 

Une prière pour notre temps : réflexions sur La prière de Jaebets

Bob Gass - Editions Copédit / The Word France

La Prière de Jaebets / Bruce Wilkinson

 

Jahbets fut plus honoré que ses frères. Sa mère l’avait appelé du nom de Jahbets, disant, Je l’ai enfanté avec douleur. Et Jahbets invoqua le Dieu d’Israël, disant : «  Si tu me bénissais abondamment, et si tu étendais mes limites, et si ta main était avec moi, et si tu me mettais à l’abri du mal, en sorte que je fusse sans douleur! » Et Dieu fit arriver ce qu’il avait demandé.

 1 Chroniques 4. 9-10

Quelques réflexions qui peuvent nous encourager à revendiquer et nous approprier ce que Dieu nous donne !

Pour Dieu, il n’y a pas de handicap !

 

 

De l’amertume à la grâce

Maurice Decker. – Ed Barnabas.

De l’amertume à la grâce, tel est le chemin de Naomi dans le livre de Ruth.

L’auteur développe les différentes étapes de ce voyage particulier : reconnaître ; rompre ; revenir ; recommencer.

Reconnaître : ne m’appelez plus Naomi, appelez-moi Mara (1. 20) ;  quand ils reconnaîtront chacun la plaie de son propre cœur… tu connais le cœur de chacun, car tu connais toi seul le cœur de tous les fils des hommes (1Rois 8. 38, 39)

Dieu connaît, je reconnais.

Rompre : elle partit du lieu où elle était  (1. 7) ;  revenez chacun de votre mauvaise voie et amendez vos actions » (Jér 35. 15) ; « qu’on rompe les chaînes de l’iniquité  (Es 58. 6)

Revenir : elle se leva, elle et ses belles-filles, et s’en revint des champs de Moab car elle avait entendu dire que l’Eternel avait visité son peuple pour leur donner du pain (1. 6,7) ; fais-moi revenir et je reviendrai car tu es l’Eternel mon Dieu (Jér 31. 18, 19)

Dieu prend l’initiative…quelle grâce !

Revenir un lieu : Bethlehem, la maison du pain

Revenir à un moment : au début de la moisson des orges, un mois de fêtes : la Pâque suivie de celle des Pains sans levain et des prémices, pardon proclamé, vie renouvelée, sainteté retrouvée par la réparation et la réconciliation.

Revenir dans une famille : celle d’Elimélec, où Dieu est roi.

Recommencer : il sera pour toi un restaurateur de ton âme et un soutien de ta vieillesse (4. 15) 

Le réveil n’est jamais une fin, il est toujours un recommencement : le réveil de Naomi suscite l’éveil de Ruth.

Un fils est né à Naomi (4. 17) La fécondité est retrouvée.

Je guérirai leur abandon de moi… il fleurira… il poussera des racines… ses rejetons s’étendront… (Osée 14. 4-7)

Quelle joie de vivre la grâce, de voir nos erreurs comme Dieu les voit : une fois confessées, couvertes par le sang de son fils Jésus.

 

 

Le Champ de Bataille de la Pensée : soyez victorieux dans vos pensées

Joyce Meyer. – Emeth Ed.

 

Un combat a lieu ! Vos pensées sont le champ de bataille !

Mais la bonne nouvelle, c’est que Dieu combat à vos côtés ! Dieu désire le meilleur pour ses enfants. Satan le sait et veut vous en priver par le mensonge, en semant dans vos pensées des doutes, des craintes, des idées fausses…

Reconnaître le mensonge, le remplacer par la vérité :

être renouvelés dans l’esprit de votre intelligence   Ephésiens 4. 23   

la vérité vous rendra libres  Jean 8. 32

amenant toute pensée captive à l’obéissance du Christ  2Corinthiens 10.

Démasquer et quitter les « mentalités de désert » : comment une mauvaise façon de penser engendre une mauvaise façon d’agir :

  •  que quelqu’un le fasse à ma place   Proverbes 6. 6-11  

  •  je ne supporte pas la difficulté   Deutéronome 30. 11

  •  je ne peux m’empêcher de râler et de me plaindre   1Pierre 2. 19-21

  •  je veux tout, tout de suite   Jacques 5. 7

  •  ce n’est pas de ma faute   Genèse 3. 12-13

  •  je suis une victime, un handicapé   Nombres 14. 1-2

  •  je suis nul, je ne mérite pas la bénédiction de Dieu   Galates 4. 7

  •   tout va bien mieux pour les autres   Jean 21. 21-22

  •  je ferai comme je veux  Psaume 78. 7-8

Voilà le programme ! A vous de jouer ! 

Soyez victorieux dans vos pensées, vous le serez alors dans vos actes.

 

 

Le Libérateur

Neil Anderson. – Editions Clé

 

Nous n’avons pas besoin de plus de puissance (comme le prétendent certains),

mais nous avons un besoin impératif de plus de vérité !

Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libre ! (Jean 8.32)

Jésus lui dit : moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. (Jean 14. 6)

Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les garder du Malin…

Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité (Jean 17.15 et 17)

Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture (Ephésiens 6.14)

Au reste frères, que tout ce qui est vrai… soit l’objet de vos pensées (Philippiens 4.8)

La première fois que Dieu punit l’église primitive, en Actes 5, il le fit de manière spectaculaire. De quoi s’agissait-il ? De meurtre ? De sexualité déréglée ? Non, c’est la vérité qui était en jeu –ou du moins, l’absence de vérité. Dieu voulait faire comprendre à l’Eglise que Satan, l’imposteur, peut nous anéantir s’il parvient à nous faire croire et vivre conformément à un de ses mensonges.

Par sa mort et sa résurrection, Jésus dépouilla les principautés et les pouvoirs en triomphant d’eux par la croix (Col 2.15)

Satan est désormais un ennemi vaincu et il n’a plus aucun pouvoir sur ceux qui sont vivants avec le Christ et assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ (Eph2.5-6).

Le chrétien n’a pas besoin d’obtenir la victoire sur le diable, Christ a déjà obtenu cela. Il n’a plus qu’à se repentir d’avoir cru au mensonge et vivre la vérité!

 

 

 

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