Réunion de jeunes Angoulême.
Déc. 2004
Le message
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L’ homme est perdu sans
Dieu (explication si nécessaire de la chute en Eden).
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L’ homme ne peut se sauver
tout seul.
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La solution : demander à
Dieu pardon pour ses péchés et qu’il m’ aide à les abandonner.
=> Accepter Jésus comme Sauveur
(il a été puni à ma place) et comme maître (Seigneur).
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Trouver le courage de témoigner en parlant de Dieu et pas seulement
témoigner par des actes.
Dieu nous demande à maintes
reprises d’être courageux, par exemple à Josué au chapitre 1 avant la
grande conquête : « Fortifie toi et sois ferme, ne te laisse point
effrayer ».
Considérons le cas de Gédéon
dans les Juges au chapitre 8 : Dieu lui dit : « Fort et vaillant
homme ».
Nous sommes des enfants de
Dieu, il nous le dit aussi ! « Je t’ai envoyé » : Jésus nous le
dit aussi. « Je serai avec toi » : L’Éternel nous le dit aussi,
comme à Abraham, Isaac et Jacob.
En 2 Timothée 2. 1 à 13, nous
apprenons que l’évangélisation demande la patience qu’il faut à un
laboureur. Ce courage dans la persévérance permet ensuite de jouir des
fruits. Comme un bon soldat nous devons aussi à avoir le courage
d’affronter les souffrances liées à la cause de Christ. Au verset 8,
une motivation grandiose : « Souviens-toi de Jésus Christ ressuscité
d’entre les morts ».
En Hébreux 12. 3, nous avons
l’exemple suprême : Jésus, qui fut sans cesse contredit par les
pécheurs.
Si nous avons peur de mal
exprimer nos paroles :
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« NE VOUS
INQUIéTEZ DE RIEN »
(Phil. 4. 6).
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« QUAND JE SUIS FAIBLE ,
C’EST ALORS QUE JE SUIS FORT » (2 Cor. 12. 10)
Si nous avons peur de nous
faire juger, comme étant différents :
Bien savoir notre position
spirituelle (enfant de Dieu, fils de la lumière) et le but de notre vie
(nous vivons pour être un maillon fort dans la chaîne de l’éternité). Un
chrétien mature est quelqu’un qui n’a pas peur de se faire passer pour
un fou : « La croix est folie pour ceux qui périssent ».
Nous remarquons aussi que
l’expérience du témoignage permet une plus grande aisance et
hardiesse. Pour les plus timides, les traités (en BD par exemple) sont
bien reçus. Pour en commander :
www.positiveconnexion.com.
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Comment
savoir par où commencer lorsqu’on parle de la Parole à un
non-croyant ?
Colossiens 4. 2 à 4 : « priant
pour nous afin que Dieu nous ouvre une porte pour la parole ». Ce
verset nous montre l’importance de la prière.
Esaïe 28. 23 à 29 : Nous avons
besoin d’être dirigé pour savoir comment labourer. Le laboureur a besoin
d’intelligence pour bien adapter son labour à la céréale destinée au
terrain. De même que le Saint Esprit guide notre intelligence suivant la
situation de la personne à qui on veut parler de Dieu !
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La personne est
dans la souffrance : Soyons à l’écoute ! La meilleure attitude
des amis de Job aurait été de l'écouter et de ne rien dire.
Discernons le besoin de la personne. La femme samaritaine vient
chercher de l’eau (Jean 4) et Jésus lui parle d’eau. Apprenons donc
à connaître la personne, ses centres d’intérêt, ses questions, en
étant dans une logique de conversation et non de leçons. Colossiens
4. 6 : « Dans un esprit de grâce assaisonné de sel ».
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La
personne paraît avoir tout pour être heureuse mais refuse Dieu :
Marc 8. 36 : « A quoi sert-il pour un homme de gagner le monde
entier s’il fait la perte de son âme ?».
Nous notons pour finir sur ce
sujet que Dieu se sert de tout. On dit parfois des bêtises, mais Dieu se
servira d’une phrase pour être un maillon dans la chaîne d’une
conversion. Il n’y a pas de recettes toutes faites. Saisissons les
occasions ! Toutes les circonstances sont bonnes !
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Que
répondre à ceux qui ne comprennent pas que Dieu puisse exister,
malgré le mal dans le monde ? (même s’ils savent que Dieu nous
laisse libres)
Il y a des causes qui explique
l’arrivée du mal (apparition de l’orgueil chez l’ange Lucifer et sa
chute ; désobéissance de l’homme dans le jardin d’Eden). Mais Dieu
n’expliquent pas à Job pourquoi tous ces malheurs arrivent. Nous
connaissons juste la solution : la Bonne Nouvelle de JéSUS !
Je
ne sais pas le pourquoi
de tout, mais je sais que quelqu’un m’aide à supporter l’épreuve et à la
surmonter.
C’est bien si la personne s’
interroge, réfléchit pour se faire une opinion personnelle.
Luc 13. 1 à 5 : Deux leçons du
Seigneur :
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Il se sert d’un fait
d’actualité notoire. Imitons-le.
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Il ne se laisse pas
embarquer dans une discussion sans fin sur l’injustice dans le
monde. Il parle de la repentance. C’est lui qui mène la
conversation.
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« Mais pour vous qui
est Jésus ? »
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« Tu demandes des
comptes à Dieu, mais le jour vient où c’est lui qui t’en
demandera »
-
« Je sais pas
pourquoi, mais je sais que si c’est vécu avec Dieu, il y aura du
bien et de la gloire pour Lui » (Lire Jean 9. 1 à 3).
Etienne nous remercie de nos
cogitations !
- D’après quelques notes prises
par Olivier